En préalable, nous regrettons que le mouvement ne soit pas organisé au minimum comme précédemment, c'est-à-dire avec les postes vacants et ceux susceptibles de l'être eu égard aux intentions de mutation.
Nous déplorons de ne toujours pas être destinataires des éléments autorisant un véritable contrôle à savoir les vœux des candidats à mutation.
Enfin, nous regrettons que malgré la nouvelle équipe de direction (DRH, SG, Recteur), il n'ait pas été possible de faire un mouvement au barème, ou tout au moins avec des entretiens et des conclusions d'entretien.
Les conséquences sont implacables : ce mouvement s'est fait en dépit de toute règle, de toute logique !
Nous nous étonnons de constater que plusieurs personnes ont obtenu une nouvelle affectation après avoir passé seulement une année sur leur poste. Nous ne nous opposons pas à la modification de la règle des 3 ans, mais si tel est le cas, nous vous demandons de l'afficher clairement. Dans le cas contraire, nous vous prions de nous donner les raisons justifiant tant d'entorses.
Suite aux départs massifs constatés ces deux dernières années, nous souhaitons que soit engagée une réflexion sur la gestion de la DEC (direction, valorisation des postes, réorganisation…? ) afin de mettre fin à l'hémorragie. Dans ce contexte, nous nous étonnons du départ d'un cadre au bout d'un an et du maintien de la collègue dont les absences répétées témoignent d'une souffrance certaine. Les agents qui demeurent sont gagnés par l'incompréhension et l'inquiétude quant aux conditions de travail l'an prochain.
L'an passé l'administration avouait que, malgré les alertes, elle n'avait pas été attentive et n'avait pas procédé à la mutation qui s'imposait après une longue ancienneté sur un poste sensible. Dans le cadre du droit à la mobilité, mais aussi dans le souci d'éviter que ne se reproduise ce type de problème, nous aimerions que soit engagée une réflexion sur la nécessaire mobilité des titulaires de certains postes (DEC, division de personnels, division de moyens). En effet, si le maintient sur un poste confère une indéniable expérience, précieuse à l'intérêt du service, l'agent entretenant des relations "privilégiées" avec ses interlocuteurs (chefs d'établissement, enseignants, contractuels) risque de perdre sa neutralité.
Nous nous étonnons de voir le maintien d'un agent affecté à titre provisoire en cours d'année. En effet, les conditions pour le moins particulières à l'origine de l'affectation pouvaient laisser imaginer une issue autre. Le fait d'entériner la situation tend à confirmer ce que l'on redoutait : un poste sur mesure marqué du sceau du privilège accordé en dehors de toutes règles. Il existe dans notre maison des personnes pour qui tout est permis !
Les agents qui souffrent en raison de situations conflictuelles mais qui ne font pas partie pas de l'encadrement, qui ne bénéficient pas de relations ou alors qui n'appartiendraient pas à un éventuel réseau (?), regardent la caravane passer avec une certaine amertume…
Nous nous étonnons de ne pas voir figurer dans les postes vacants du Rectorat un poste de catégorie A à la DPEI malgré Ies doléances des personnels. Ce poste est-il supprimé ?
Le SGPEN-CGTR souhaiterait une réunion de travail pour mettre en place à l'avenir des règles minimales régissant le mouvement interne du Rectorat.
Les représentants du SGPEN-CGTR à la CCPR
Nous déplorons de ne toujours pas être destinataires des éléments autorisant un véritable contrôle à savoir les vœux des candidats à mutation.
Enfin, nous regrettons que malgré la nouvelle équipe de direction (DRH, SG, Recteur), il n'ait pas été possible de faire un mouvement au barème, ou tout au moins avec des entretiens et des conclusions d'entretien.
Les conséquences sont implacables : ce mouvement s'est fait en dépit de toute règle, de toute logique !
Nous nous étonnons de constater que plusieurs personnes ont obtenu une nouvelle affectation après avoir passé seulement une année sur leur poste. Nous ne nous opposons pas à la modification de la règle des 3 ans, mais si tel est le cas, nous vous demandons de l'afficher clairement. Dans le cas contraire, nous vous prions de nous donner les raisons justifiant tant d'entorses.
Suite aux départs massifs constatés ces deux dernières années, nous souhaitons que soit engagée une réflexion sur la gestion de la DEC (direction, valorisation des postes, réorganisation…? ) afin de mettre fin à l'hémorragie. Dans ce contexte, nous nous étonnons du départ d'un cadre au bout d'un an et du maintien de la collègue dont les absences répétées témoignent d'une souffrance certaine. Les agents qui demeurent sont gagnés par l'incompréhension et l'inquiétude quant aux conditions de travail l'an prochain.
L'an passé l'administration avouait que, malgré les alertes, elle n'avait pas été attentive et n'avait pas procédé à la mutation qui s'imposait après une longue ancienneté sur un poste sensible. Dans le cadre du droit à la mobilité, mais aussi dans le souci d'éviter que ne se reproduise ce type de problème, nous aimerions que soit engagée une réflexion sur la nécessaire mobilité des titulaires de certains postes (DEC, division de personnels, division de moyens). En effet, si le maintient sur un poste confère une indéniable expérience, précieuse à l'intérêt du service, l'agent entretenant des relations "privilégiées" avec ses interlocuteurs (chefs d'établissement, enseignants, contractuels) risque de perdre sa neutralité.
Nous nous étonnons de voir le maintien d'un agent affecté à titre provisoire en cours d'année. En effet, les conditions pour le moins particulières à l'origine de l'affectation pouvaient laisser imaginer une issue autre. Le fait d'entériner la situation tend à confirmer ce que l'on redoutait : un poste sur mesure marqué du sceau du privilège accordé en dehors de toutes règles. Il existe dans notre maison des personnes pour qui tout est permis !
Les agents qui souffrent en raison de situations conflictuelles mais qui ne font pas partie pas de l'encadrement, qui ne bénéficient pas de relations ou alors qui n'appartiendraient pas à un éventuel réseau (?), regardent la caravane passer avec une certaine amertume…
Nous nous étonnons de ne pas voir figurer dans les postes vacants du Rectorat un poste de catégorie A à la DPEI malgré Ies doléances des personnels. Ce poste est-il supprimé ?
Le SGPEN-CGTR souhaiterait une réunion de travail pour mettre en place à l'avenir des règles minimales régissant le mouvement interne du Rectorat.
Les représentants du SGPEN-CGTR à la CCPR