Pour une surprise, ce fut une sacrée surprise ! Le président de la commission nationale du " débat sur l'école " ne s'attendait visiblement pas à l'accueil citoyen que nous lui avons réservé.
Et pour cause, sa venue avait été minutieusement préparée et ce dans le plus grand secret.
L'administration avait semble t' il fait le choix après concertation avec les différents acteurs institutionnels et l'intéressé d'un arrivée très discrète .
Pas de forces de police pré-positionnées .Pas davantage d' accueil du Préfet et du Recteur d'académie à l'aéroport, bref aucun élément visible ne permettait de penser que ce dimanche 14 décembre , Claude Thelot, Emissaire du gouvernement Raffarin aurait pu être dans nos " murs ".
Mais voilà, dans notre département " fourmi y marche sous la terre tout do monde y connaît " autrement dit l'info si on la cherche on la trouve .
Devant la chaleur et la ferveur de l'accueil , le Président de la commission a déclaré forfait et s'est replié sur ses bases arrières , au fond de l'aéroport, à l'abri des douces et chaleureuses voix venues lui rappeler les revendications des personnels de l'Education nationale :
Aucun transfert des missions et des personnels
Non au démantèlement du service public national d'éducation
Le chauffeur que l'administration avait tout de même eu la délicate attention de dépêcher sur place tenta de récupérer le président mais sa voiture fut pistée par certains manifestants et cette initiative conjuguée au souhait de l'émissaire du gouvernement de ne pas tenter une sortie fit que le " sauvetage " se transforma en choux blanc.
Monsieur le Président du " grand bla-bla " sur l'école ne dut son salut qu'à une salvatrice O.P.A d'exfiltration menée par deux ,trois gardiens de la paix en service P.V devant l'aérogare . Pas de départ en grosse berline comme prévue , mais un départ remarqué dans un car de police appelé vulgairement panier à salade sous les huées des manifestants.
IATOSS du SGPEN-CGTR et des enseignants du SAIPER.
Ah, l' accueil pays ,ce n'est plus ce qu'il était ! ! !que voulez vous avec toute cette chienlit !
Plus sérieusement , et au delà de la rocambolesque arrivée du président, nous avons voulu rappeler au gouvernement que nous ne baissons pas les bras et que le contentieux des grèves de mai juin n'est pas réglé , loin s'en faut !
Nous avons voulu également signifier aux Chirac Raffarin et consorts que nous sommes encore de la partie ( " the game is not over " )et qu'il faudra compter sur notre détermination et notre combativité en 2004. En tous cas ,que tous ces messieurs sachent que nous allons mettre tout notre poids , toute notre énergie (et nous en avons) pour faire échec aux plans de casse du service public . Régionalisation ,transferts, salaires, assez de prendre des coups ! ! Répondons par l'action sous toutes ses formes , c'est possible si les personnels reprennent conscience de leur force et de la faiblesse d'un gouvernement qui chaque jour est un peu plus aux abois ! !
Pour terminer l'année , à l'occasion des quatre débats organisés dans chacune des régions (sud nord est, ouest) sous la houlette de la préfecture, préparons des rassemblements alternatifs bruyants et haut en couleurs .
Faisons nous entendre ! mobilisons nous ! le SGPEN-CGTR appelle l'ensemble de ses militants à organiser des contre manifestations à partir seulement des revendications des personnels .
Et pour cause, sa venue avait été minutieusement préparée et ce dans le plus grand secret.
L'administration avait semble t' il fait le choix après concertation avec les différents acteurs institutionnels et l'intéressé d'un arrivée très discrète .
Pas de forces de police pré-positionnées .Pas davantage d' accueil du Préfet et du Recteur d'académie à l'aéroport, bref aucun élément visible ne permettait de penser que ce dimanche 14 décembre , Claude Thelot, Emissaire du gouvernement Raffarin aurait pu être dans nos " murs ".
Mais voilà, dans notre département " fourmi y marche sous la terre tout do monde y connaît " autrement dit l'info si on la cherche on la trouve .
Devant la chaleur et la ferveur de l'accueil , le Président de la commission a déclaré forfait et s'est replié sur ses bases arrières , au fond de l'aéroport, à l'abri des douces et chaleureuses voix venues lui rappeler les revendications des personnels de l'Education nationale :
Aucun transfert des missions et des personnels
Non au démantèlement du service public national d'éducation
Le chauffeur que l'administration avait tout de même eu la délicate attention de dépêcher sur place tenta de récupérer le président mais sa voiture fut pistée par certains manifestants et cette initiative conjuguée au souhait de l'émissaire du gouvernement de ne pas tenter une sortie fit que le " sauvetage " se transforma en choux blanc.
Monsieur le Président du " grand bla-bla " sur l'école ne dut son salut qu'à une salvatrice O.P.A d'exfiltration menée par deux ,trois gardiens de la paix en service P.V devant l'aérogare . Pas de départ en grosse berline comme prévue , mais un départ remarqué dans un car de police appelé vulgairement panier à salade sous les huées des manifestants.
IATOSS du SGPEN-CGTR et des enseignants du SAIPER.
Ah, l' accueil pays ,ce n'est plus ce qu'il était ! ! !que voulez vous avec toute cette chienlit !
Plus sérieusement , et au delà de la rocambolesque arrivée du président, nous avons voulu rappeler au gouvernement que nous ne baissons pas les bras et que le contentieux des grèves de mai juin n'est pas réglé , loin s'en faut !
Nous avons voulu également signifier aux Chirac Raffarin et consorts que nous sommes encore de la partie ( " the game is not over " )et qu'il faudra compter sur notre détermination et notre combativité en 2004. En tous cas ,que tous ces messieurs sachent que nous allons mettre tout notre poids , toute notre énergie (et nous en avons) pour faire échec aux plans de casse du service public . Régionalisation ,transferts, salaires, assez de prendre des coups ! ! Répondons par l'action sous toutes ses formes , c'est possible si les personnels reprennent conscience de leur force et de la faiblesse d'un gouvernement qui chaque jour est un peu plus aux abois ! !
Pour terminer l'année , à l'occasion des quatre débats organisés dans chacune des régions (sud nord est, ouest) sous la houlette de la préfecture, préparons des rassemblements alternatifs bruyants et haut en couleurs .
Faisons nous entendre ! mobilisons nous ! le SGPEN-CGTR appelle l'ensemble de ses militants à organiser des contre manifestations à partir seulement des revendications des personnels .