
Le SGPEN CGTR est choqué par un tel niveau d’irresponsabilité.
Les exemples de dysfonctionnements majeurs sont légions. Ainsi, pour ne prendre que la seule ville de st joseph, un élève sur deux en moyenne n’a pu se rendre en cours.
Mais il y a situation bien plus compliquée encore : Au collège Adam de Villiers, seul 10% des élèves étaient présents, certains lycées professionnels étaient quasiment vides ……des poubelles débordent…les conditions d’hygiènes et de salubrité ne sont plus assurées …
Le scénario « d’établissements ingérables » prend forme à tel point que des chefs d’établissements, de plus en plus nombreux, s’orientent vers des fermetures de restauration scolaire , voire vers la fermeture complète de leur établissement d’enseignement.
Ainsi le rectorat qui érige l’art du silence radio comme méthode de gouvernance a été alerté « d’une cessation prochaine d’activité » de plusieurs services si la situation de crise venait à perdurer.
Le SGPEN CGTR réitère son souhait de la mise en place d’une cellule de crise pour apprécier et décider de la fermeture des établissements .N’ajoutons pas en effet aux dysfonctionnements actuels d’autres dysfonctionnements et n’infligeons aux élèves la double peine (retour à pied .. à leur domicile et cours manqués).
Prendre ses responsabilités au regard de la situation actuelle ce n’est pas comme le prétend le rectorat « se rendre complice des blocages constatés » et « sortir du rôle d’impartialité de l’état » mais c’est au contraire agir en responsabilité !
A st Denis, le lundi 10 novembre 2008 à 16h00
P/Le SGPEN CGTR
Le secrétaire général
Patrick Corré
Les exemples de dysfonctionnements majeurs sont légions. Ainsi, pour ne prendre que la seule ville de st joseph, un élève sur deux en moyenne n’a pu se rendre en cours.
Mais il y a situation bien plus compliquée encore : Au collège Adam de Villiers, seul 10% des élèves étaient présents, certains lycées professionnels étaient quasiment vides ……des poubelles débordent…les conditions d’hygiènes et de salubrité ne sont plus assurées …
Le scénario « d’établissements ingérables » prend forme à tel point que des chefs d’établissements, de plus en plus nombreux, s’orientent vers des fermetures de restauration scolaire , voire vers la fermeture complète de leur établissement d’enseignement.
Ainsi le rectorat qui érige l’art du silence radio comme méthode de gouvernance a été alerté « d’une cessation prochaine d’activité » de plusieurs services si la situation de crise venait à perdurer.
Le SGPEN CGTR réitère son souhait de la mise en place d’une cellule de crise pour apprécier et décider de la fermeture des établissements .N’ajoutons pas en effet aux dysfonctionnements actuels d’autres dysfonctionnements et n’infligeons aux élèves la double peine (retour à pied .. à leur domicile et cours manqués).
Prendre ses responsabilités au regard de la situation actuelle ce n’est pas comme le prétend le rectorat « se rendre complice des blocages constatés » et « sortir du rôle d’impartialité de l’état » mais c’est au contraire agir en responsabilité !
A st Denis, le lundi 10 novembre 2008 à 16h00
P/Le SGPEN CGTR
Le secrétaire général
Patrick Corré