Clicanoo.re publié le 9 septembre 2011 06h49
Environ 200 élèves du Lycée d’enseignement professionnel (LEP) Paul-Hermann à Saint-Pierre ont protesté hier contre l’insécurité grandissante aux abords de l’établissement. Selon les lycéens, inscrits pour nombre d’entre eux en BEP mécanique, les cas de rackets seraient en effet de plus en plus fréquents. Une situation jugée “insupportable” pour les élèves qui ont donc refusé de rejoindre leur salle de classe. Pour les syndicats, ces problèmes d’insécurité auraient pris de l’ampleur suite à la suppression de postes de surveillants.
Pour répondre au mouvement d’humeur des élèves, la direction du lycée a donc proposé hier le déploiement de personnel Tos aux abords de l’établissement. Cette solution d’appoint, censé répondre à l’urgence de la situation, a été très mal accueillie du côté de la CGTR Educ’Action. “La surveillance des élèves n’entre pas dans le cadre des missions du personnel Tos.
Ils ont déjà suffisamment de travail pour ne pas qu’on les oblige à s’occuper de tâches supplémentaires. Nous demandons donc que le personnel TOS ne soit pas utilisé en réponse à ce phénomène d’insécurité demandons plutôt au rectorat de rétablir les postes de surveillants qui ont été supprimés au lycée professionnel Paul Hermann”, lance Patrick Corré, le secrétaire général de la CGTR Educ’Action.
Environ 200 élèves du Lycée d’enseignement professionnel (LEP) Paul-Hermann à Saint-Pierre ont protesté hier contre l’insécurité grandissante aux abords de l’établissement. Selon les lycéens, inscrits pour nombre d’entre eux en BEP mécanique, les cas de rackets seraient en effet de plus en plus fréquents. Une situation jugée “insupportable” pour les élèves qui ont donc refusé de rejoindre leur salle de classe. Pour les syndicats, ces problèmes d’insécurité auraient pris de l’ampleur suite à la suppression de postes de surveillants.
Pour répondre au mouvement d’humeur des élèves, la direction du lycée a donc proposé hier le déploiement de personnel Tos aux abords de l’établissement. Cette solution d’appoint, censé répondre à l’urgence de la situation, a été très mal accueillie du côté de la CGTR Educ’Action. “La surveillance des élèves n’entre pas dans le cadre des missions du personnel Tos.
Ils ont déjà suffisamment de travail pour ne pas qu’on les oblige à s’occuper de tâches supplémentaires. Nous demandons donc que le personnel TOS ne soit pas utilisé en réponse à ce phénomène d’insécurité demandons plutôt au rectorat de rétablir les postes de surveillants qui ont été supprimés au lycée professionnel Paul Hermann”, lance Patrick Corré, le secrétaire général de la CGTR Educ’Action.