Le non renouvellement de 700 emplois dans les colléges et les lycées va inévitablement aggraver les problèmes d'hygiène et de sécurité existants déjà au sein des établissements scolaires.
700 emplois en moins à la rentrée de fin janvier 2005 , cela veut dire concrètement :
- Des espaces verts mal traités et au pire laissés en jachère
- Des salles de classes et des sanitaires mal nettoyés
- Une moindre sécurité alimentaire au niveau de la restauration scolaire
etc....etc...
La santé de nos éléves est directement menacée et cela nous ne pouvons l'accepter ! Elle l'est d'autant plus que notre Ile connait depuis trop de temps déjà une explosion de l'épidémie du chikungunya .
A cet égard , est il besoin de rappeler les conclusions unanimes des épidémiologistes et des autorités sanitaires et administratives : chaque déchet non traité représente un risque sérieux de niche larvaire du virus
Face à un tel scénario qui se dessine, le Préfet serait davantage inspiré de prendre enfin les mesures nécessaires pour assurer au mieux le securité sanitaire de nos éléves au lieu de se répandre en plates recommandations et vaines gesticulations avec les tristes résultats que l'on connait actuellement en matière d'éradication du virus .
Prendre les mesures nécessaires: C'est au minima doter les collèges et les lycées du même niveau d'emploi de services que celui qui existait dans les colléges et les lycées avant les vacances de fins d'année ; C'est dans un premier temps, renouveller urgement les contrats de nos 700 collégues et faire en sorte de mettre un terme définitif à la précarité de leur situation qui est dommageable au bon fonctionnement des structures scolaires .
L'Etat plus que jamais , devant la précarité de la situation sanitaire , face aux graves dysfonctionnemenst que ne manqueront pas de connaitre nos colléges et lycées, doit prendre toutes ses responsabilités .
Nous continuerons pour notre part à prendre les notres :
-Dès la rentrée, si l'Etat s'obstine à jouer la carte du pourissement d'une situation qui n'a que trop duré , nous allons organisé dans les établissements scolaires des AG des personnels. A ce propos, un préavis de grève illimitée a déjà été déposé pour couvrir toutes les initiatives de luttes décidés collectivement par les personnels .
-Toutes les options de résistance sont envisageables et légitimes: grève : occupation de locaux , utilisation par les personnels du droit de retrait face au risque sanitaire, saisine des maires pour exiger la fermeture des établissements scolaires affectés par l'insalubrité etc...
Que l'Etat soit assuré que nous lutterons résolument jusqu'a satisfaction de notre exigence d'un fonctionnement normal des nos collèges et des lycées, pour le réemploi de nos collégues .
A saint Denis, le 09 janvier 2005
700 emplois en moins à la rentrée de fin janvier 2005 , cela veut dire concrètement :
- Des espaces verts mal traités et au pire laissés en jachère
- Des salles de classes et des sanitaires mal nettoyés
- Une moindre sécurité alimentaire au niveau de la restauration scolaire
etc....etc...
La santé de nos éléves est directement menacée et cela nous ne pouvons l'accepter ! Elle l'est d'autant plus que notre Ile connait depuis trop de temps déjà une explosion de l'épidémie du chikungunya .
A cet égard , est il besoin de rappeler les conclusions unanimes des épidémiologistes et des autorités sanitaires et administratives : chaque déchet non traité représente un risque sérieux de niche larvaire du virus
Face à un tel scénario qui se dessine, le Préfet serait davantage inspiré de prendre enfin les mesures nécessaires pour assurer au mieux le securité sanitaire de nos éléves au lieu de se répandre en plates recommandations et vaines gesticulations avec les tristes résultats que l'on connait actuellement en matière d'éradication du virus .
Prendre les mesures nécessaires: C'est au minima doter les collèges et les lycées du même niveau d'emploi de services que celui qui existait dans les colléges et les lycées avant les vacances de fins d'année ; C'est dans un premier temps, renouveller urgement les contrats de nos 700 collégues et faire en sorte de mettre un terme définitif à la précarité de leur situation qui est dommageable au bon fonctionnement des structures scolaires .
L'Etat plus que jamais , devant la précarité de la situation sanitaire , face aux graves dysfonctionnemenst que ne manqueront pas de connaitre nos colléges et lycées, doit prendre toutes ses responsabilités .
Nous continuerons pour notre part à prendre les notres :
-Dès la rentrée, si l'Etat s'obstine à jouer la carte du pourissement d'une situation qui n'a que trop duré , nous allons organisé dans les établissements scolaires des AG des personnels. A ce propos, un préavis de grève illimitée a déjà été déposé pour couvrir toutes les initiatives de luttes décidés collectivement par les personnels .
-Toutes les options de résistance sont envisageables et légitimes: grève : occupation de locaux , utilisation par les personnels du droit de retrait face au risque sanitaire, saisine des maires pour exiger la fermeture des établissements scolaires affectés par l'insalubrité etc...
Que l'Etat soit assuré que nous lutterons résolument jusqu'a satisfaction de notre exigence d'un fonctionnement normal des nos collèges et des lycées, pour le réemploi de nos collégues .
A saint Denis, le 09 janvier 2005