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Il n'aura échappé à aucun observateur attentif de la lutte syndicale que le SGPEN CGTR est à l'origine du combat pour la revalorisation du régime indemnitaire des tos et des agents de région en général.
Ainsi, suite au combat que la cgtr a impulsé (constitution d'une intersyndicale, grève et blocage de la région,..), nous avons pu arracher un protocole d'accord avec la région réunion. Protocole qui s'est traduit par une première mesure de revalorisation pour les personnels ainsi que l'élargissement de la "prime semestrielle" aux personnels tos qui avaient été trop longtemps arbitrairement exclus de ce dispositif.
Au moment où, en application du protocole signé en janvier 2010, s'ouvre une deuxième phase de négociations afin de poursuivre le travail engagé et d'asseoir ainsi définitivement un régime indemnitaire digne de ce nom, nous avons été particulièrement indigné de l'attitude des élus de la région qui ont exclu des discussions le SGPEN CGTR pourtant signataire et principal artisan du protocole d'accord, et ce, en raison de prétexte bidon de quota et composition restreinte du groupe de travail.
Cette exclusion est d'autant plus surprenante qu'elle intervient après l'engagement de la collectivité d’élargir, à notre demande, le dialogue social aux organisations qui ne siègent pas au ctp, comme la fsu, mais qui était comme ce syndicat partie prenante dans le combat qui avait été mené.
Nous nous interrogeons sur les motivations cachées des élus de la région. Que craignent t'ils ? Que notre syndicat ne s'en laisse pas compter en défendant bec et ongles les intérêts des agents ? que nous soyons particulièrement vigilants sur le respect des engagements pris ?
LE SGPEN CGTR exige, à minima, de la collectivité le respect de la règle du parallélisme des formes, à savoir que toutes les organisations signataires du protocole d'accord puissent, sans exception, participer aux travaux en cours.
LE SGPEN CGTR porte et continuera de porter sa revendication d'un régime indemnitaire égal au montant mensuel maximum autorisé par les textes (exemple : pour un Adjoint technique de 2 eme classe, le montant maximum autorisé en 2009 était de 393 euros mensuels)
Dans ce cadre, LE SGPEN CGTR demande que cette seconde mesure de revalorisation soit effective dans les plus brefs délais, et en tout état de cause avant la fin de l'année 2011, comme cela était prévu en application du protocole d'accord de 2010.
LE SGPEN CGTR demandera audience auprès du président de région sur la mise à l'écart inadmissible d'une composante importante de la CGTR. Rappelons que les tos et agents de la region ont porté la CGTR, lors des dernières élections professionnelles, comme la seconde organisation syndicale (doublement de nos sièges au C.T.P et de nos voix )
LE SGPEN CGTR restera vigilant tout au long des négociations et ira, si cela est nécessaire, jusqu'à organiser la grève et le blocage effectif de la région s'il n'est pas donné suite concrètement aux revendications des personnels, conformément aux engagements contractés.
Les agents ont été depuis trop longtemps déconsidérés, le temps des indemnités au rabais est révolu.
Le SGPEN CGTR ne transigera pas sur une revalorisation au meilleur taux du régime indemnitaire pour chaque grade concerné. Les moyens financiers sont là. Que
l a région investisse moins en campagnes de communication et plus dans la reconnaissance de ses agents.
LE SGPEN CGTR
Il n'aura échappé à aucun observateur attentif de la lutte syndicale que le SGPEN CGTR est à l'origine du combat pour la revalorisation du régime indemnitaire des tos et des agents de région en général.
Ainsi, suite au combat que la cgtr a impulsé (constitution d'une intersyndicale, grève et blocage de la région,..), nous avons pu arracher un protocole d'accord avec la région réunion. Protocole qui s'est traduit par une première mesure de revalorisation pour les personnels ainsi que l'élargissement de la "prime semestrielle" aux personnels tos qui avaient été trop longtemps arbitrairement exclus de ce dispositif.
Au moment où, en application du protocole signé en janvier 2010, s'ouvre une deuxième phase de négociations afin de poursuivre le travail engagé et d'asseoir ainsi définitivement un régime indemnitaire digne de ce nom, nous avons été particulièrement indigné de l'attitude des élus de la région qui ont exclu des discussions le SGPEN CGTR pourtant signataire et principal artisan du protocole d'accord, et ce, en raison de prétexte bidon de quota et composition restreinte du groupe de travail.
Cette exclusion est d'autant plus surprenante qu'elle intervient après l'engagement de la collectivité d’élargir, à notre demande, le dialogue social aux organisations qui ne siègent pas au ctp, comme la fsu, mais qui était comme ce syndicat partie prenante dans le combat qui avait été mené.
Nous nous interrogeons sur les motivations cachées des élus de la région. Que craignent t'ils ? Que notre syndicat ne s'en laisse pas compter en défendant bec et ongles les intérêts des agents ? que nous soyons particulièrement vigilants sur le respect des engagements pris ?
LE SGPEN CGTR exige, à minima, de la collectivité le respect de la règle du parallélisme des formes, à savoir que toutes les organisations signataires du protocole d'accord puissent, sans exception, participer aux travaux en cours.
LE SGPEN CGTR porte et continuera de porter sa revendication d'un régime indemnitaire égal au montant mensuel maximum autorisé par les textes (exemple : pour un Adjoint technique de 2 eme classe, le montant maximum autorisé en 2009 était de 393 euros mensuels)
Dans ce cadre, LE SGPEN CGTR demande que cette seconde mesure de revalorisation soit effective dans les plus brefs délais, et en tout état de cause avant la fin de l'année 2011, comme cela était prévu en application du protocole d'accord de 2010.
LE SGPEN CGTR demandera audience auprès du président de région sur la mise à l'écart inadmissible d'une composante importante de la CGTR. Rappelons que les tos et agents de la region ont porté la CGTR, lors des dernières élections professionnelles, comme la seconde organisation syndicale (doublement de nos sièges au C.T.P et de nos voix )
LE SGPEN CGTR restera vigilant tout au long des négociations et ira, si cela est nécessaire, jusqu'à organiser la grève et le blocage effectif de la région s'il n'est pas donné suite concrètement aux revendications des personnels, conformément aux engagements contractés.
Les agents ont été depuis trop longtemps déconsidérés, le temps des indemnités au rabais est révolu.
Le SGPEN CGTR ne transigera pas sur une revalorisation au meilleur taux du régime indemnitaire pour chaque grade concerné. Les moyens financiers sont là. Que
l a région investisse moins en campagnes de communication et plus dans la reconnaissance de ses agents.
LE SGPEN CGTR