A la veille du rassemblement pour la défense de l’emploi et contre les transferts organisé par le SGPEN-CGTR et l’Unatos-FSU, le recteur d’académie et le Préfet de Région ont donné ensemble un point presse mardi 15 novembre 2005
A cette occasion, les représentants de l’Etat ont confirmé leur positionnement sur le dossier des transferts des TOS et indiqué publiquement que les collègues précaires et contractuels de service devraient être également transférés.
Rien de bien nouveau si ce n’est que l’Etat a décidé d’engager et de poursuivre son bras de fer avec les collectivités locales plus particulièrement sur la gestion des contrats aidés ( C.E.C, CES..) de la filière ouvrière.
Ainsi, Le blocage est complet sur le dossier du réemploi de nos collègues précaires et en contrats aidés pour la rentrée de fin janvier 2006.
L’Etat n’en veut plus, les collectivités déjà en proie à de graves difficultés sur le dossier des TOS n’acceptent pas quant à elle ce nouveau coup de force.
Lorsque le Recteur affirme –une nouvelle fois – qu’aucun précaire ne restera sur le bord du chemin, il trompe les personnels sur la réalité de la situation. L’Etat veut se débarrasser de ses précaires à l’instar des décisions qu’il a prise pour les TOS
A ce jour aucune dotation d’emploi concernant la filière ouvrière n’a été communiquée aux collèges et lycées alors même que les contrats doivent être signés au plus tard pour le 22 novembre 2005 pour que nos collègues puissent être sur leur postes à la rentrée.
Il y a urgence absolue !!! Monsieur le Préfet, Monsieur le Recteur, assez de prendre les précaires pour des abrutis ! Votre gouvernement est responsable des transferts, Qu’il assume !!! Que vous assumiez !!!
Monsieur le Préfet, vous qui avait en charge la conduite des politiques publiques notamment celle de l’Emploi, assurez immédiatement le réemploi de nos collègues, Transmettez sans délais aux collèges et lycées leur dotation , le sort de 700 hommes et femmes dépend de votre décision !!!
Collègues Tos, contractuels et précaires, plus que jamais l’heure est à l’action résolue. Tous en grève et en manifestation mercredi 16 novembre 2005
A st Denis, le mardi 15 novembre 2005
A cette occasion, les représentants de l’Etat ont confirmé leur positionnement sur le dossier des transferts des TOS et indiqué publiquement que les collègues précaires et contractuels de service devraient être également transférés.
Rien de bien nouveau si ce n’est que l’Etat a décidé d’engager et de poursuivre son bras de fer avec les collectivités locales plus particulièrement sur la gestion des contrats aidés ( C.E.C, CES..) de la filière ouvrière.
Ainsi, Le blocage est complet sur le dossier du réemploi de nos collègues précaires et en contrats aidés pour la rentrée de fin janvier 2006.
L’Etat n’en veut plus, les collectivités déjà en proie à de graves difficultés sur le dossier des TOS n’acceptent pas quant à elle ce nouveau coup de force.
Lorsque le Recteur affirme –une nouvelle fois – qu’aucun précaire ne restera sur le bord du chemin, il trompe les personnels sur la réalité de la situation. L’Etat veut se débarrasser de ses précaires à l’instar des décisions qu’il a prise pour les TOS
A ce jour aucune dotation d’emploi concernant la filière ouvrière n’a été communiquée aux collèges et lycées alors même que les contrats doivent être signés au plus tard pour le 22 novembre 2005 pour que nos collègues puissent être sur leur postes à la rentrée.
Il y a urgence absolue !!! Monsieur le Préfet, Monsieur le Recteur, assez de prendre les précaires pour des abrutis ! Votre gouvernement est responsable des transferts, Qu’il assume !!! Que vous assumiez !!!
Monsieur le Préfet, vous qui avait en charge la conduite des politiques publiques notamment celle de l’Emploi, assurez immédiatement le réemploi de nos collègues, Transmettez sans délais aux collèges et lycées leur dotation , le sort de 700 hommes et femmes dépend de votre décision !!!
Collègues Tos, contractuels et précaires, plus que jamais l’heure est à l’action résolue. Tous en grève et en manifestation mercredi 16 novembre 2005
A st Denis, le mardi 15 novembre 2005