Le conseil général nous a indiqué, jeudi 16 avril 2009, qu’il a donné son feu vert au renouvellement des contrats des C.U.I Dérogatoires (55 emplois) tout en nous précisant que l’effectivité de la reconduction est conditionnée par la validation de ceux ci par le Préfet de la Réunion.
Rappelons que ce type de contrat C.U.I dérogatoire , , avait été mis en place suite à la visite de Martin Hirsh à la Réunion
Il s’agissait d’offrir aux personnels précaires de plus de 50 ans et/ou ayant exercés plus de 60 mois dans les collèges de poursuivre leur contrat sur un C.U.I, comme étape d’une possible intégration à terme.
Bien que le Préfet ait été interpellé depuis un certain temps par le conseil général, il n’a pas encore, à ce jour, donné une réponse. Celle ci revêt pourtant un caractère d’urgence dans la mesure ou un certain nombre de collègue risquent d’aller grossir les rangs des chômeurs à la fin de ce mois.
En conséquence, le SGPEN CGTR demande au Préfet de ne pas oublier ces personnels qui n’ont que ce maigre emploi pour vivre et qui pour certains cumulent plus de 10 ans d’ancienneté.
Il ne faudrait pas que l’investissement du préfet à sauver coute que coute « ses états généraux » lui fasse oublier qu’ils existent des pères et de mères de famille qui n’attendent que sa décision pour poursuivre leurs activités professionnelles et percevoir ainsi un salaire
C’est donc un message d’alerte que nous lançons au Préfet.
A st Denis, le vendredi 17 avril 2009
Le secrétaire général du SGPEN CGTR
Patrick Corré
Rappelons que ce type de contrat C.U.I dérogatoire , , avait été mis en place suite à la visite de Martin Hirsh à la Réunion
Il s’agissait d’offrir aux personnels précaires de plus de 50 ans et/ou ayant exercés plus de 60 mois dans les collèges de poursuivre leur contrat sur un C.U.I, comme étape d’une possible intégration à terme.
Bien que le Préfet ait été interpellé depuis un certain temps par le conseil général, il n’a pas encore, à ce jour, donné une réponse. Celle ci revêt pourtant un caractère d’urgence dans la mesure ou un certain nombre de collègue risquent d’aller grossir les rangs des chômeurs à la fin de ce mois.
En conséquence, le SGPEN CGTR demande au Préfet de ne pas oublier ces personnels qui n’ont que ce maigre emploi pour vivre et qui pour certains cumulent plus de 10 ans d’ancienneté.
Il ne faudrait pas que l’investissement du préfet à sauver coute que coute « ses états généraux » lui fasse oublier qu’ils existent des pères et de mères de famille qui n’attendent que sa décision pour poursuivre leurs activités professionnelles et percevoir ainsi un salaire
C’est donc un message d’alerte que nous lançons au Préfet.
A st Denis, le vendredi 17 avril 2009
Le secrétaire général du SGPEN CGTR
Patrick Corré