
APPEL A LA MOBILISATION DES PERSONNELS LE MARDI 5 FEVRIER 2013
La CGTR EDUC’ACTION constate avec regret que le traitement des dossiers relatifs à la souffrance au travail et au harcèlement moral piétine et ce malgré les déclarations rassurantes qui nous ont été faites en ce domaine pour prévenir et faire cesser de telles pratiques
Nous ne pouvons accepter que la souffrance de nos collègues ne soit pas sérieusement prise en compte
Nous constatons que l'action ou l'inaction de la hiérarchie est souvent en cause : « non résolution de conflits », « sentiment de manque de considération », « modifications organisationnelles et structurelles profondes posant question sur le sens du travail et affectant le collectif » et en particulier relative au « suivi des activités », « non remplacement des effectifs », " modifications des locaux, incompréhension de décisions hiérarchiques », « perception pour plusieurs salariés de ne pas être soutenus, et/ou reconnus dans leur travail ». » Inaction face à des faits de harcèlement identifiés, non réponse aux courriers d’alerte des victimes … »
Que cela soit bien clair : Nous ne pouvons accepter que des requêtes de personnels en souffrance soient au pire tout simplement ignorées ou au mieux non prise en compte sérieusement comme cela est manifestement trop souvent le cas à ce jour.
L’administration a trop souvent tourné le dos aux principales dispositions législatives en matière de harcèlement et d’obligation de prévention qui prévoient que l’employeur est tenu de prendre toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les agissements de harcèlement » moral (article L. 1152-4 du nouveau Code du travail) ou sexuel (article L. 1153-5 du nouveau Code du travail).
A maintes reprises nous avons souligné la nécessité d’une véritable prise en compte de cette problématique par la mise en œuvre d’une stratégie et d’un plan d’actions.. En vain !
Les risques psychosociaux doivent, est il besoin de le souligner, faire l'objet d'une obligation de résultat de la part de l'employeur avec notamment l’apport de mesures préventives.
A ce jour toujours rien, nada ! , les harceleurs harcèlent et les victimes continuent de subir et de souffrir
La CGTR EDUC’ACTION DIT « STOP » . IL FAUT QUE CELA CHANGE !!!!!
Personne, aucun collègue n’est à l’abri. Aussi en responsabilité, pour que ca change enfin, nous appelons les personnels à une action de mobilisation le MARDI 5 FEVRIER 2013 sous le mot d’ordre :
« HARCEMENT, SOUFFRANCE AU TRAVAIL, ARET EK SA »
La CGTR EDUC’ACTION constate avec regret que le traitement des dossiers relatifs à la souffrance au travail et au harcèlement moral piétine et ce malgré les déclarations rassurantes qui nous ont été faites en ce domaine pour prévenir et faire cesser de telles pratiques
Nous ne pouvons accepter que la souffrance de nos collègues ne soit pas sérieusement prise en compte
Nous constatons que l'action ou l'inaction de la hiérarchie est souvent en cause : « non résolution de conflits », « sentiment de manque de considération », « modifications organisationnelles et structurelles profondes posant question sur le sens du travail et affectant le collectif » et en particulier relative au « suivi des activités », « non remplacement des effectifs », " modifications des locaux, incompréhension de décisions hiérarchiques », « perception pour plusieurs salariés de ne pas être soutenus, et/ou reconnus dans leur travail ». » Inaction face à des faits de harcèlement identifiés, non réponse aux courriers d’alerte des victimes … »
Que cela soit bien clair : Nous ne pouvons accepter que des requêtes de personnels en souffrance soient au pire tout simplement ignorées ou au mieux non prise en compte sérieusement comme cela est manifestement trop souvent le cas à ce jour.
L’administration a trop souvent tourné le dos aux principales dispositions législatives en matière de harcèlement et d’obligation de prévention qui prévoient que l’employeur est tenu de prendre toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les agissements de harcèlement » moral (article L. 1152-4 du nouveau Code du travail) ou sexuel (article L. 1153-5 du nouveau Code du travail).
A maintes reprises nous avons souligné la nécessité d’une véritable prise en compte de cette problématique par la mise en œuvre d’une stratégie et d’un plan d’actions.. En vain !
Les risques psychosociaux doivent, est il besoin de le souligner, faire l'objet d'une obligation de résultat de la part de l'employeur avec notamment l’apport de mesures préventives.
A ce jour toujours rien, nada ! , les harceleurs harcèlent et les victimes continuent de subir et de souffrir
La CGTR EDUC’ACTION DIT « STOP » . IL FAUT QUE CELA CHANGE !!!!!
Personne, aucun collègue n’est à l’abri. Aussi en responsabilité, pour que ca change enfin, nous appelons les personnels à une action de mobilisation le MARDI 5 FEVRIER 2013 sous le mot d’ordre :
« HARCEMENT, SOUFFRANCE AU TRAVAIL, ARET EK SA »