Edito : Fonction Publique, le gouvernement accélère la casse

Si les salariés ont droit à des congés d’été bien mérités après une année de travail, le gouvernement ne se donne aucun répit. Juillet et août sont souvent les mois où les mauvais coups tombent.
- Remise en cause du choix des femmes pour le droit à la retraite «majoration durée d’assurance accordée aux mères».
- La taxe carbonne qui transfère des prélèvements des entreprises vers les salariés, suppression de la taxe professionnelle.
- Gel des allocations familiales.
- Imposition des accidents du travail.
- La loi de mobilité en est l’illustration, votée à l’Assemblée Nationale début juillet, malgré une opposition de l’ensemble des syndicats et Partis de Gauche.
Cette loi présentée comme moderne par le gouvernement est en réalité une pièce indispensable du puzzle pour licencier les fonctionnaires.
Le seul élément qu’il manquait à leur politique de dégraissage des effectifsde la Fonction Publique en liaison avec la RGPP.
Suite à une suppression de poste, le fonctionnaire aura trois propositions de postes, au-delà, c’est la mise à disposition d’office sans traitement. (Voir article du bulletin).
- Tous les services publics sont touchés par la politique du gouvernement qui accélère les privatisations (la Poste, Fret SNCF, etc.).
Personne n’échappe à cette casse, pas un service n’est épargné par le manque de postes, les conditions de travail se dégradent considérablement et le service rendu au public n’est pas assuré correctement.
Une autre politique est possible et s’impose. Pour cela, il faut mettre un arrêt à toutes les restructurations de la Fonction Publique, réorienter l’argent au service de tous :
- Créer des emplois de fonctionnaires pour répondre aux besoins de tous les services.
- Titulariser tous les précaires.
- Augmenter les salaires: 1 600euros minimum.
Ensemble, si nous voulons, nous pouvons imposer le changement.
Michel CAUSSEMILLE,
Secrétaire Général.
- Remise en cause du choix des femmes pour le droit à la retraite «majoration durée d’assurance accordée aux mères».
- La taxe carbonne qui transfère des prélèvements des entreprises vers les salariés, suppression de la taxe professionnelle.
- Gel des allocations familiales.
- Imposition des accidents du travail.
- La loi de mobilité en est l’illustration, votée à l’Assemblée Nationale début juillet, malgré une opposition de l’ensemble des syndicats et Partis de Gauche.
Cette loi présentée comme moderne par le gouvernement est en réalité une pièce indispensable du puzzle pour licencier les fonctionnaires.
Le seul élément qu’il manquait à leur politique de dégraissage des effectifsde la Fonction Publique en liaison avec la RGPP.
Suite à une suppression de poste, le fonctionnaire aura trois propositions de postes, au-delà, c’est la mise à disposition d’office sans traitement. (Voir article du bulletin).
- Tous les services publics sont touchés par la politique du gouvernement qui accélère les privatisations (la Poste, Fret SNCF, etc.).
Personne n’échappe à cette casse, pas un service n’est épargné par le manque de postes, les conditions de travail se dégradent considérablement et le service rendu au public n’est pas assuré correctement.
Une autre politique est possible et s’impose. Pour cela, il faut mettre un arrêt à toutes les restructurations de la Fonction Publique, réorienter l’argent au service de tous :
- Créer des emplois de fonctionnaires pour répondre aux besoins de tous les services.
- Titulariser tous les précaires.
- Augmenter les salaires: 1 600euros minimum.
Ensemble, si nous voulons, nous pouvons imposer le changement.
Michel CAUSSEMILLE,
Secrétaire Général.











